Le montant des travaux est garanti et plafonné dans le cas du dispositif Loi Malraux.
Faux : Le dispositif a été modifié en 2015 mais auparavant, les copropriétaires avaient obligation d’adhérer à l’A.F.U.L. (Association foncière urbaine libre) dont l’une des missions est d’exécuter des travaux tels que la restauration des secteurs sauvegardés ou la restauration immobilière.
L’AFUL s’engage alors dans des travaux privatifs alors que les copropriétaires ne doivent concourir qu’aux travaux en parties communes. Résultat : les copropriétaires n’ont pas la maîtrise des coûts de réfection qui peuvent passer du simple au double.